275e anniversaire de Saint-Constant
Les 2 éclats près du 2 et du 5 représentent des feux d’artifice, l’icône festif pour désigner les célébrations qui entourent le 275e anniversaire de la Ville. Chaque chiffre est séparé par des espaces blancs afin de rejoindre le logo actuel de la Ville.
Ressource | Lien |
---|---|
Guide des standards graphiques |
L'ouverture en 1725 de la concession Saint-Pierre permet la colonisation de la partie est de la seigneurie du Sault-Saint-Louis. Le défrichement en Nouvelle-France oblige les habitants aux durs labeurs qui porteront fruit.
Jacques Le Marchand de Lignery, prêtre-curé de La Prairie-de-la-Magdeleine, est mandaté par Monseigneur de Pontbriand, évêque de Québec, afin de desservir les côtes de la Tortue, Saint-Pierre et Saint-Régis. Le 5 novembre 1744, un mandement de l'évêque ordonne "la construction d'une église, presbytère, cimetière et autres choses nécessaires à l'établissement de la fabrique" à la Côte Saint-Pierre. Le 8 décembre de la même année, cinq hommes et cinq femmes cèdent au représentant de l'évêque un terrain de huit arpents en superficie afin de réaliser le projet.
Tradition commémorant les notables en les associant aux répertoires des saints de l'Église, on choisit le prénom de Constant Le Marchand de Lignery, officier décédé des Compagnies franches de la Marine et père du prêtre-curé en fonction, pour la dénomination de la nouvelle église. Le 16 juillet 1750, l'église Saint-Constant est bénie en présence des plus hautes autorités ecclésiastiques, des seigneurs de la Compagnie de Jésus et d'un grand nombre d'habitants.
La construction du presbytère, l'aménagement du cimetière et de la place publique, de même que l'ouverture des registres paroissiaux se réalisent en 1752, donnant naissance au village de Saint-Constant.
Ce texte est une gracieuseté d'Yves Bellefleur, président de la Société d'histoire et de patrimoine de Lignery.
Visionnez les photos d'époque prises à Saint-Constant qui nous ont été partagées par des citoyens.
Merci à tous ceux qui ont pris le temps de nous partager leurs vieux souvenirs!
Galerie de photos
Roch Lanctôt, député fédéral du comté de La Prairie avec trois ouvriers. Chemin Petit Saint-Régis Sud vers 1920.
Maison du médecin Gagnon. Rue Saint-Pierre, entre la rue Saint-Pierre et la montée de La Saline vers 1905.
La famille de Léopold Bellefleur et Lucrèce Desmarais, Yolande et Lucie, calèche, 340 St-Régis Sud, 1925.
Léopold Bellefleur, 1918
40e anniversaire de mariage - Alphonse et Marianne
Ferme sur la rue Saint-Pierre. Elle fut déménagée au 69-71 Saint-Pierre pour construire la nouvelle rue Saint-Pierre de la rue Sainte-Catherine à la 132.
Lucile Laplante Longtin avec sa fille sur la nouvelle rue Saint-Pierre
Ruines fumantes d'une partie du village (rues de l'Église et Létourneau), au lendemain de l'incendie dans la nuit du 21 septembre 1924.
Rue Saint-Pierre, vis-à-vis le presbytère et l'église, au lendemain de l'incendie dans la nuit du 21 septembre 1924.
Joseph Bellefleur avec enfants devant le 309 Saint-Régis.
Léopold Bellefleur, Laurent Bellefleur, Lucrèce Desmarais, Lucien Duras, Pont Saint-Régis, 1940.
Alfred Lemyre
Lucienne Bellefleur devant le 309, Saint-Régis, 1924.
Ferme sur la rue Saint-Pierre. Elle fut déménagée au 69-71 Saint-Pierre pour construire la nouvelle rue Saint-Pierre de la rue Sainte-Catherine à la 132.
Lucile Laplante Longtin avec sa fille Gisèle avant le déménagement au 69-71 Saint-Pierre.
La ferme après le déménagement au 69-71 rue Saint-pierre. Un agrandissement a été fait afin de devenir la résidence de deux familles.
Travaux d'ouverture de la rue Saint-Pierre, de la rue Sainte-Catherine à la 132, en 1947.
Jacqueline Laplante Patenaude avec Gisèle longtin, sa nièce.
Lucile Laplante Longtin, Jean-Paul Longtin, Jospeh et Rose Laplante au 499, rue Saint-Pierre Nord. Maison toujours existante.
Jean-Paul Longtin et Gisèle au 214, rue Saint-Pierre. 1946.
Alphonse Ste-Marie
Famille Alphonse Ste-Marie
Laurette (19 ans) et André (22 ans)
Mariage de Laurette et André
Marianne Sorel
Maison de Napoléon F. Lucinois, église de 1883, hangar du magasin général G. I. Gervais, maison du médecin Gagnon et maison de Georges Vanier. Rue Saint-pierre, entre la rue Saint-Jospeh et la montée de La Saline, vers 1920.